lundi 29 décembre 2025

La cerise sur le gâteau ? Elle est rouge !

 Les cadeaux vont par trois c'est même à ça qu'on les reconnaît.

Marie m'a offert du rouge ! Et si j'ai déjà cette tenue, elles ne sont pas tout à fait identiques.


 Voici donc venir du fond des âges, une activité désuète. Tressy en tenue de 1974, "majorette".

Plus qu'un héritage, je pourrais dire un vestige d'une activité qui aujourd'hui passerait sans doute pour sexiste.

En 1974, les majorettes défilaient légères et courts vêtues au son d'une fanfare et  levaient très haut la jambe.

J'ai l'air ironique mais je n'ai jamais trouvé ça très intéressant, déjà que j'ai dû faire quelques années de danse classique, 😝😝😝😝

Attention, j'ai eu le privilège de voir danser Patrick Dupont dans le Boléro de Ravel à Athènes, à l'Hérode Atticus, c'était magnifique mais moi, façon Martine à l'opéra, pas trop ma tasse de tilleul. 

Tressy est quant à elle beaucoup moins sectaire que moi. Elle arbore avec beaucoup de satisfaction une tenue qui se compose d'une robe courte, cape cousue, un chapeau assorti, des bottines et un bâton.



 Le rouge est flamboyant, un satin qui brille, c'est parfait pour ce type de tenue.

La mienne est un peu différente.


 Le satin de la cape est blanc quand il est ivoire sur la version de Marie.

Une tenue, deux versions, j'adore ! ! 😍 

 

2 commentaires:

  1. Pas ma tasse de thé la majorette. Comme la ballerine d'ailleurs. Mais à avoir dans sa collection en tant que classique de l'époque !

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  2. Les majorettes et leur fanfare, c'était le grand truc jusque dans les années 80, ou peut-être 90 ! Il y avait un groupe qui répétait pas loin de chez moi quand j'étais petite, et c'était frustrant d'entendre la musique, sans qu'il y ait de défilé ! Quoique une fois, il y a bel et bien eu un défilé : le groupe a fait leur répétition en costume dans notre rue qui est droite et longue, comme le boulevard où avait lieu le corso fleuri annuel. On y assistait aux meilleures places, dans la tribune du maire : ma marraine était infirmière au bloc, et un des chirurgiens avec qui elle travaillait lui donnait ses places qu'il recevait du cabinet du maire avec qui il était ami (Toulon était copinage et accointances à l'époque !) Heureusement que j'étais trop petite pour avoir conscience de ces privilèges douteux de cotoyer les familles des huiles toulonnaises ; je me souviens que mes parents étaient contents que ça ne soit qu'une fois par an, et d'ailleurs le corso n'a eu lieu que quelques années

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c'est là qu'on écrit !