Rétrospective féline une année de chachou

 Je suis sûre que vous vous êtes déjà posé cette question :

"Mais que fait donc notre petit Slouby adoré de ses journées ? ? " 

Oh, j'oserais dire "pas grand chose"...

Mais ce serait à la fois méprisant et dénué de réalisme.

Non, en fait, il s'économise.😸

Comment croyez-vous que je puisse faire autant de photos de lui ? Je ne suis pas Usain Bolt,  je ne cours pas, je trotte d'un pas allègre et silencieux et je n'oublie jamais de prendre mon appareil photo. 
Petit rappel : un portable, ça sert à téléphoner ! Même si je n'appelle jamais 😊, pas très fan des fils à la patte...😝

Je n'avance pas sans preuves. J'ai des photos, incontestables.

Je vous propose de balayer les douze derniers mois qui viennent de s'écouler en suivant les pérégrinations non pas de la famille R, mais de Slouby of Nantes.

Douze mois, douze photos. Si vous trouvez un côté répétitif à la chose, n'hésitez pas à sauter quelques mois, je ne crois pas que vous allez rater de moments mémorables 🙀, Si ?

 

En janvier, après les fêtes, épuisée la bête, il n'y a guère que le bout de la queue qui dépasse du canapé et de sa couverture. 

 

 En février, il a changé de position, il a émergé son canapé pour en changer. Il est dans mon dos. Et il pousse avec ses pattes, en plus il veut ma place... 

 

En mars, il est retourné sur son canapé, la position est d'une extrême élégance (en mode lapin) ou souplesse. En tout cas ça montre bien qu'il peut être posé sur le dos. Et que ça tient !

 

En avril, il ne saurait abandonner ses habitudes. Le ventre de sa maîtresse de vingt-quatre ans. C'est confort, ça ne râle pas sauf pour les poils et ça vous aime sans aucune réserve.

 

"En mai, fait ce qu'il te plaît",  il ne saurait déroger à cette règle immuable ici. On fait ce qui nous plaît 😋, câlin, encore et toujours.

 

 En juin, on pourrait croire que les belles et longues journées de l'été débutant l'inciteraient à bouger davantage, mais c'est peut-être le mot "bouger" qui lui donne de l'urticaire ? Il fond, doucement, sur son coussin. Là, je me demande vraiment quelle est sa capacité d'éveil ? Parce que ce cochon poilu et velu, il me réveille la nuit, à quatre heures, heure d'hiver, à trois, heures d'été...

 

En juillet, il fait beau et chaud, il s'élève, sur le plancher de la chambre de Claude, il fait chaud et il se met sur sa jambe, c'est tellement confort une jambe...

Je commence à me dire qu'il n'a que deux positions : point ou trait.

Euréka ! ! J'ai compris, il s'essaie au morse ! 

Futé mon chachou !😍

 En août, les choses évoluent, un peu, il est toujours avec moi, je suis derrière, je ne sais quoi en penser, garde-chiourme ? Surveillant du GRU ? Un amour inconditionnel pour les adultes de la maison ? À voir...

 En septembre, il est sur sa maîtresse, non, en fait, pas de changements notoires chez la bête. Les supports changent, couvertures, coussins, personnes mais lui ...

En octobre, il fait plus frais, plus humide, le jardin est moins attractif. On ne saurait être mieux que dans la chaleur du foyer. Toujours précautionneux le minet matois.

Et avec dans les oreilles Megaherz "alles Arschlöcher", non ça ne les écorche pas du tout, ça bouge, à défaut de voir un chachou actif, j'ai une musique dynamique ! 

 

En novembre, on s'approche doucettement de la fin d'année, le chat le plus photogénique du blog va sans doute innover et nous concocter une photo mémorable.

Oui, il est dans les bras ! Il aide à monter un Lego©... Ah, non, je me suis sans doute enthousiasmée trop vite, il fait câlin-dodo sur Claude. 

En décembre, on y est. Dernier mois de l'année, dernière photo de cette rétrospective.

Là, c'est carrément le lit de Claude. Il a un goût prononcé pour les couettes douillettes, surtout quand il y a sa maîtresse dedans. 

 😽 Que dire ? 

• Qu'il est en train de dormir sur l'aquarium pour être proche de moi ?
• Qu'il a tendance à prendre beaucoup de place que vous dormez sur le canapé ? 
• qu'on ne peut pas faire un "où est Slouby?" en intérieur, c'est trop facile?
•  que j'ai beau traduire son morse : point, trait, point, point, point, trait, trait, trait, point, point, point, point. Je ne comprends pas.

Son morse est rouillé, mais je sais ce qu'il veut vous dire, après de telles économies d'énergie,  il est prêt à repartir comme en quarante. C'est sûr ! Ce n'est pas l'année 2025 qui l'aura fatiguée, la bête.